[381] J. Rokitianski et R. Muller, Krasny Dissident (Le dissident rouge), Moscou, Academia, 1996, p. 97.
[382] Trotsky, Ma vie, op. cit., p. 457.
[383] Trotsky, Les Crimes de Staline, op. cit., p. 116.
[384] Trotsky, Ma vie, op. cit., p. 492 (et 518)
[385] B. Slavine, « L’homme au pouvoir absolu », Pravda, 21 décembre 1994.
[386] Les souvenirs de Balachov ont été publiés dans la revue Politicheskie Issledovania (Recherches politiques) en 1991. Je cite sur la base des épreuves que la rédaction m’avait remises, plus complètes que le texte publié.
[387] Les questions du mode de vie, en annexe de la réédition de Littérature et Révolution, Paris, Les Éditions de la Passion, 2000, pp. 314-316.
[388] A. Leroy-Beaulieu, L’Empire des tsars et les Russes, op. cit., pp. 529-530.
[389] Lénine, « Chasser les bureaucrates réunionnistes », Œuvres complètes, op. cit., t, 45, p. 14.
[390] La lettre de Mantsev est citée par I. Goland, « La politique et l’économie », Znamia, no 3, mars 1990, pp. 190-191.
[391] Compte rendu sténographique du XIe congrès, op. cit., p. 79.
[392] Istochnik, no 2, 1993, p. 60.
[393] N. Pokrovski, « Préface », in Politburo i Tserkov, Moscou, Rosspen, 1997, t. 1, p. 41.
[394] N. Werth et G. Moullec, Rapports secrets soviétiques : la société russe dans les documents confidentiels, 1921-1991, Paris, Gallimard, 1994, p. 96.
[395] Ibid., p. 98.
[396] Lénine, Œuvres complètes, op. cit., t. 54, pp. 44 et 162.
[397] Compte rendu stenographique du XIVe congrès, Moscou-Leningrad, 1926, déclaration de Glebov-Avilov, p. 952. À partir d’avril 1923, les nominations aux fonctions dirigeantes de l’appareil du Parti, de l’État ou des syndicats s’effectuent sur des listes dites, selon leur importance décroissante, « nomenklatura » no 1, 2 et 3, que Staline et son secrétariat contrôlent personellement et strictement, surtout la 1 et la 2.
[398] I. Pavlova, « Le Mécanisme du pouvoir politique en URSS dans les années 1920 et 1930 », Voprossy Istorii, nos 11-12, 1998, pp. 56-57.
[399] Ibid., p. 60.
[400] Istochnik, nos 5-6, 1993, p. 91.
[401] « Trotsky se défend », Voprossy Istorii KPSS, no 5, 1990, p. 34. Cahiers du mouvement ouvrier, no 13, avril 2001, pp. 31-38.
[402] Compte rendu sténographique du XIIe congrès, Moscou, 1923, p. 201.
[403] L. Beria, 1953, Moscou, 1999, p. 282.
[404] Perepiska 1912-1927, op. cit., pp. 262-263.
[405] I. Rubtsov, Alter ego Stalina. Mehklis, Moscou, p. 46. Mekhlis a raconté lui-même cet épisode au journaliste M. Koltsov qui en a fait confidence à son frère (le caricaturiste B. Efimov).
[406] A. Balachov, Épreuves complètes de Politicheskie Issledovania entre les mains de l’auteur.
[407] Molodaia Gvardia, no 4, 1989, p. 62. Perepiska 1912-1927, op. cit., p. 263.
[408] B. Bajanov, Bajanov révèle Staline, Paris, Gallimard, 1979.
[409] A. Balachov, Polititcheskie Issledovania, op. cit.
[410] Perepiska 1912-1927, op. cit., p. 263.
[411] Dimitrov, Dnevnik, op. cit., p. 129.
[412] Trotsky en octobre 1923 justifiera son refus par le fait qu’il jugeait maladroit d’attribuer à un juif une aussi haute fonction gouvernementale. Voir « Trotsky se défend », art. cité.
[413] Trotsky, Ma vie, op. cit., p. 483.
[414] Lénine, Neizvestny dokumenty (Documents inconnus), Moscou, Rosspen, 1999, pp. 513-514.
[415] Lénine, Œuvres complètes, op. cit., t. 45, p. 211. D. Volkogonov, Le Vrai Lénine : d’après les archives secrètes soviétiques, Paris, Robert Laffont, 1995, p. 57.
[416] AEFR, fonds 45, inventaire 1, dossier 693. Izvestia TsK KPSS, no 9, 1989, p. 209.
[417] Lénine, Œuvres complètes, op. cit., t. 45, p. 220.
[418] Perepiska 1912-1927, op. cit., p. 268.
[419] Izvestia TsK KPSS, no 12, 1989, p. 195.
[420] Ibid., pp. 189-191.
[421] Ibid., p. 191, Trotsky, Ma vie, op. cit., p. 487.
[422] Ibid., p. 191.
[423] Ibid., p. 192.
[424] Ibid. et B. Lazitch, Le Rapport Khrouchtchev et son histoire, Paris, Seuil, 1976, p. 59.
[425] Lénine, Œuvres complètes, op. cit., t. 45, p. 710.
[426] Ibid., p. 345.
[427] Ibid., pp. 360 et 361.
[428] Trotsky, Ma vie, op. cit., p. 449.
[429] Lénine, Œuvres complètes, op. cit., t. 44, p. 346.
[430] Izvestia TsK KPSS, no 9, 1990, p. 163.
[431] Note de Fotieva en date du 30 janvier résumant tous ces incidents de la semaine écoulée. Lénine, Œuvres complètes, op. cit., t. 45, pp. 476-477.
[432] Ibid., p. 483.
[433] Ibid., p. 404.
[434] Izvestia TsK KPSS, no 9, 1990, p. 149.
[435] Ibid., et Lénine, Œuvres complètes, op. cit., t. 45, p. 330.
[436] Témoignage de Voloditcheva à l’écrivain Alexandre Bek. V. Koumaniov, I. Koulikova, Protivostoianie (L’Opposition), Moscou, Nauka, 1994, p. 28 et 29-30.
[437] Izvestia TsK KPSS, no 12, 1989, pp. 198-199.
[438] Ibid., p. 193.
[439] Ibid., p. 196. Brouillon rédigé par Boukharine. CRCEDHC, fonds 17, inventaire 2, dossier 246, vol. IV.
[440] Trotsky, Ma vie, op. cit., p. 490.
[441] CRCEDHC, fonds 76, inventaire 3, dossier 287.
[442] D. Volkogonov, Le Vrai Lénine, op. cit., p. 384.
[443] Ibid.
[444] Réunion des écrivains communistes tenue le 19 octobre 1932 chez Gorki. K. Zelinski, « V Iunie 1954 (en juin 1954) ». Minuvchee, no 5, 1991, p. 73. Dans A. Vaksberg, Le Mystère Gorki, Paris, Albin Michel, 1997, pp. 303-304, A. Vaksberg raconte la scène et cite la phrase mais il les situe par erreur une semaine plus tard lors d’une réunion d’écrivains communistes et sans parti avec Staline et plusieurs autres dirigeants du Parti à laquelle Boukharine ne fut pas invité. Même éméché comme il l’était le 19 octobre, Boukharine ne se serait d’ailleurs jamais permis une pareille sortie devant des personnes qui n’étaient pas membres du Parti.
[445] Voprossy Istorii KPSS, no 1, 1991, p. 53.
[446] Compte rendu sténographique du XIIe congrès, Moscou, 1968, pp. 816-820 et V. Dorochenko, « Lénine contre Staline, 1922-1923 », Zvezda, no 4, 1990, pp. 129-130.
[447] Izvestia TsK KPSS, no 4, 1991, p. 166 et 168.
[448] Ibid., p. 173.
[449] Ibid., pp. 169-171.
[450] « Lettres de Guerchenzon à Lev Chestov », Minuvchee, no 6, 1992, p. 282.
[451] Taïny nacjonalnoï politiki TsK Parti RKP (Les secrets de la politique nationale du CC du PCR. Compte rendu sténographique de la 4e réunion secrète du CC du PCR), Moscou, 1992, 1923, p. 261.
[452] G. Landa, « Moussaïd Sultan Galiev », Voprossy Istorii, no 8, 1999, p. 86.
[453] Lettre de Rassoul-Zadé à Staline du 1er janvier 1923, Istochnik, no 6, 1994, p. 84.
[454] Taïny Nacjonalnoi politiki TsK RKP, Moscou, Insan, 1992, pp. 82-86.
[455] Ibid., pp. 280-281.
[456] Ibid., pp. 29-30.
[457] AERF, fonds 3, inventaire 1, dossier 356, reproduit dans Politburo i Tserkov (Le Bureau politique et l’Église), op. cit., vol. 1, p. 414.
[458] Izvestia TsK KPSS, no 4, 1991, p. 202.
[459] Ibid., p. 197.
[460] Ibid., p. 198.
[461] Ibid., p. 202.
[462] Ibid., p. 198. Lorsqu’il aura rompu avec Zinoviev et Kamenev, Staline dans une déclaration écrite du 13 août 1926 niera l’existence de la lettre du 10 août 1923 de Zinoviev et Boukharine et raillera la « citation fictive d’une lettre fictive » faite par Zinoviev (CRCEDHC, fonds 17, inventaire 2, dossier 246). Prometheus, Y. Buranov, Lenin’s Will, New York, pp. 176-177. Boukharine ne dira mot.
[463] Ibid., p. 203.
[464] Ibid., p. 206.
[465] Ibid., p. 200.
[466] Ibid., p. 204. Avant la réunion du Bureau politique du 21 août qui rassemble, outre lui, Trotsky, Zinoviev, Radek, il manifeste une crainte réelle ou affectée devant les conséquences dramatiques d’une révolution allemande victorieuse : « Il faut dire directement et nettement que la révolution ouvrière en Allemagne signifie une guerre vraisemblable entre l’Allemagne et la France et la Pologne (et peut-être d’autres États) […]. Il faut dire de façon claire et nette que la révolution en Allemagne et notre aide aux Allemands […] signifie la guerre entre la Pologne et la Russie. » Istochnik, no 5, 1995, p. 118.
[467] Compte rendu sténographique du XIVe congrès, Moscou, 1926, p. 506.
[468] Die Rote Fahne, 10 octobre 1923. Reproduit dans P. Broué, Révolution en Allemagne, op. cit., p. 757.
[469] Izvestia TsK KPSS, no 5, 1990, p. 170.
[470] Ibid., p. 164.
[471] Izvestia TsK KPSS, no 12, 1990, p. 168.
[472] Pravda, 11 décembre 1923. Trotsky, De la révolution, op. cit., p. 83.
[473] Trudnye Voprossy Istorii, Moscou, 1991, p. 67 et V. Rogovine, Byla li alternativa ? (Y avait-il une alternative ?), Moscou, Terra, 1992, p. 165.
[474] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 5, pp. 381-382.
[475] Cahiers d’Histoire sociale, printemps 1994, pp. 48-51.
[476] Bulletin communiste, no 8, 1924, p. 205-206, cité dans P. Broué, L’Internationale communiste, Paris, Fayard, 1999, p. 371.
[477] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 6, pp. 46-51.
[478] Fiodor Raskolnikov o vremeni i o sebe (Fiodor Raskolnikov sur l’époque et sur lui-même), Leningrad, Leninzdat, 1989, p. 522.
[479] Ibid., p. 523.
[480] G. Serebriakova, « Ils ont fait honneur à l’idée qu’ils ont servie », Izvestia, 1989, 31 janvier.
[481] CRCEDHC, fonds 17, inventaire 2, dossier 790 et Y. Buranov, Lenin’s Will, op. cit., p. 78. Staline reprend en la durcissant la formulation plus floue d’une position qu’il avait définie lors d’une déclaration aux membres du Comité central du 16 avril 1923 et où il affirmait : « Je pense que les articles du camarade Lénine devraient être publiés. On doit regretter qu’ils ne l’aient pas été. Néanmoins, il ressort clairement de la lettre de la camarade Fotieva que le camarade Lénine n’a pas autorisé leur publication dans la mesure où ils ne les a pas revus. » (CRCEDHC, fonds 5, inventaire 2, dossier 34). Y. Buranov, Lenin’s Will, op. cit., p. 69. Fotieva, inspirée par Staline avait, le 16 avril, adressé à celui-ci une lettre affimant brutalement : « Vladimir Ilitch ne considérait pas cet article comme complet et prêt à la publication. » Izvestia TsK KPSS, no 9, 1990, p. 159.
[482] V. Rogovine, Bylali alternativa, op. cit., p. 174.
[483] Staline, Œuvres complètes, t. 10, pp. 175-176.
[484] M. Rakosi, « Souvenirs », Istoricheski Arckhiv, no 3, 1997, p. 119.
[485] Nowy Przeglad, 1924-1925, reprint, Varsovie, 1959, pp. 41-42.
[486] F. Firsov et I. Iakoborovskaia, « Le Comintern et le Parti communiste polonais », Voprossy Istorii KPSS, no 11, novembre 1989, p. 26.
[487] Staline, Œuvres complètes, t. 6, p. 357.
[488] Les bolcheviks et la révolution d’octobre, op. cit., p. 139. N. Mouchitz, « une falsification stalinienne », Cahiers du mouvement ouvrier, no 4, décembre 1988, pp. 36-37 et CRCEDHC, fonds 558, inventaire 1, dossier 4580.
[489] Pravda, 26 novembre 1924 ; Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 6, pp. 326-327
[490] F. Tchouev, Conversations avec Molotov, op. cit., édition russe, p. 218 (le passage a disparu de l’édition française).
[491] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 8, p. 62.
[492] Izvestia TsK KPSS, no 8, 1991, p. 179.
[493] Ibid., p. 183.
[494] A. Andreiev, Vospominania, pisma (Souvenirs, lettres), Moscou, 1985, p. 155.
[495] Izvestia TsK KPSS, no 8, 1991, p. 189.
[496] Ibid., p. 192.
[497] Ibid., pp. 192-193.
[498] Perepiska 1912-1927, op. cit., p. 300.
[499] N. Khrouchtchev, Vospominania, op. cit., t. 1, p. 20.
[500] Ibid., pp. 26-27.
[501] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 7, p. 2 et t. 8, p. 61.
[502] N. Werth et G. Moullec, Rapports secrets soviétiques, op. cit., p. 110.
[503] Ibid., p. 111.
[504] Ibid., p. 34.
[505] Ibid., p. 34, Khrestomatia po ochestvennoï istorii, 1914-1945. Moscou, A. Kisselev et E. Chaguine, Vlados, 1996, pp. 301-302.
[506] Pisma Stalina Molotovu, op. cit., p. 18.
[507] Ibid., p. 25.
[508] Ibid., p. 29.
[509] Ibid.
[510] Ibid., p. 44.
[511] Ibid., p. 39.
[512] Komintern i ideia mirovoï revolucji (Le Comintern et l’idée de la révolution mondiale) op. cit., pp. 37 et 569-570.
[513] CRCEDHC, fonds 558, inventaire 1, dossier 2763. Firsov, « Staline et le Comintern », in Istoria i Stalinism, Moscou, p. 144. Texte modifié in Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 8, p. 104.
[514] Ibid.
[515] Ibid., et Firsov, « Staline et le Comintern », art. cité, p. 145.
[516] Ibid.
[517] Perepiska 1912-1927, op. cit., pp. 310-311.
[518] Vlast i Khudojestvennaia Intelligencja (Le pouvoir et l’intelligentsia), Moscou, Democratia, « Rossia-XX vek », 1999, pp. 66-67.
[519] Compte rendu sténographique du XIVe congrès, Moscou, 1926, pp. 274-275.
[520] Ibid., pp. 397-398.
[521] Ibid., p. 418.
[522] Compte rendu sténographique du XIVe congrès, pp. 504-505. Le texte est reproduit dans les Œuvres complètes, t. 7, p. 384, amputé de cette phrase, dont ne subsiste que la question : « Que veulent-ils donc de Boukharine ? » Staline avait affirmé peu avant ce passage : « Nous soutenons et nous soutiendrons Boukharine. » Dans la même page des Œuvres complètes, le « nous soutiendrons » a été effacé.
[523] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 7, pp. 379-380.
[524] Ibid., p. 376.
[525] V. Koumaniov et I. Kulikova, Protivostoianie (L’opposition), op. cit., p.105.
[526] Pisma Stalina Molotovu, op. cit., pp. 95-96.
[527] Perepiska 1912-1927, op. cit., p. 318.
[528] I. Rubtsov, Alter ego Stalina, op. cit., p. 50.
[529] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 8, pp. 100-107.
[530] Iossif Stalin v obiatiakh semii (Iossif Staline dans l’étreinte de la famille), op. cit., p. 11.
[531] S. Alliluieva, En une seule année, op. cit., p. 129.
[532] Voprossy Istorii KPSS, no 2, 1990, p. 107.
[533] Cahiers du mouvement ouvrier, no 11, septembre 2000, p. 89.
[534] Kommunisticheskaia opposicja v SSSR (L’opposition communiste en URSS), Moscou, Terra, 1990, t. 2, p. 80.
[535] Pisma Stalina Molotovu, op. cit., p. 71.
[536] Ibid., pp. 73-74.
[537] I. Mourine, « Encore une fois sur les démissions de Staline », Rodina, no 7, 1994, p. 72.
[538] Lettre de Staline datée du 15 mai 1926 à Manouilski, Piatniski, Lozovski, Boukharine, Lominadzé et Zinoviev, CRCEDHC, fonds 508, inventaire 1, dossier 107.
[539] Cité dans I. A. Khorman, SSSR-Italia, 1924-1939, Moscou, 1995, p. 68.
[540] Pisma Stalina Molotovu, op. cit., p. 90.
[541] Lettre à Valentinov, Cahiers Léon Trotsky, no 18, juin 1984, p. 82.
[542] N. Werth et G. Moullec, Rapports secrets soviétiques, op. cit., p. 36.
[543] Compte rendu sténographique du XIVe congrès, Moscou, 1926, p. 499.
[544] H. Isaacs, La Tragédie de la Révolution chinoise, Paris, Gallimard, p. 206. Staline n’a jamais publié ce discours dont le Yougoslave Vujovic qui en avait obtenu une copie lut de longs extraits lors d’une séance du Comité exécutif du Comintern en présence de Staline lui-même.
[545] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 9, p. 224.
[546] Ibid., p. 260.
[547] Pisma Stalina Molotovu, op. cit., p. 102.
[548] Ibid., p. 104.
[549] Ibid., p. 110.
[550] Ibid., pp. 111-114.
[551] Istoria : Stalinism, op. cit., p. 159. Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 10, p. 48.
[552] Ibid, p. 54.
[553] Pisma Stalina Molotovu, op. cit., p. 107.
[554] Ibid, p. 116.
[555] V. Koumaniov et I. Koulikova, Protivostoianie, op. cit., p. 124.
[556] Istoricheski Arkhiv, nos 5-6, 1996, p. 158.
[557] Istochnik, no 1, 1999, p. 103.
[558] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 10, p. 172.
[559] Ibid., p. 175.
[560] Ibid., p. 190.
[561] Trotsky qualifiait Menjinski d’« ombre d’un autre homme inexistant ou d’esquisse mal réussie d’un portrait inachevé » (Ma vie, op. cit., p. 455).
[562] Istochnik, no 6, 1995, p. 128.
[563] V. Sirotkine, « La révolution dans la conscience », Le XXe siècle et la paix, no 7, 1998, p. 19.
[564] O. Moroz, « Le dernier diagnostic », Literaturnaia Gazeta, 28 septembre 1988. Table ronde, « Consilium », Literaturnaia Gazeta, 2 août 1989. A. Portnov, « Une version sans argument » » Socjalisticheskaia industria, 28 avril 1989. « Devant le jugement de l’histoire ou de la médecine ? », Argumenty i Fakty, no 17, 29 mai 1989.
[565] Novy Mir, no 5, 1998, p. 171.
[566] Izvestia TsK KPSS, no 5, 1991, pp. 193-195.
[567] Ibid., pp. 195-196.
[568] Ibid., pp. 196-197.
[569] Izvestia TsK KPSS, no 6, 1991, p. 203 et 205.
[570] Ibid., p. 211.
[571] Ibid., p. 213.
[572] Ibid., p. 215.
[573] V. Kossatchev, « La veille de la collectivisation : le voyage de Staline en Sibérie », Vosprossy Istorii, no 5, 1998, p. 104.
[574] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 11, p. 18.
[575] « Sur le front du blé » dans la Pravda du 2 juin 1928, la phrase a disparu du texte reproduit dans les Œuvres complètes, t. 11, pp. 81-97.
[576] Ibid., t. 11, pp. 207-208.
[577] Ibid., pp. 158-159.
[578] Voprossy Istorii, nos 2-3, 1991, p. 198 et A. Larina, Boukharine ma passion, op. cit., p. 231.
[579] Voprossy Istorii, nos 2-3, 1991, p. 198.
[580] Ibid., p. 196.
[581] Ibid., p. 195.
[582] Il développe plus complètement cette idée dans son discours d’avril devant le plénum du Comité central et de la Commission de contrôle : « Parce que l’importance relative des éléments capitalistes baisse, ils flairent un danger mortel et renforcent leur résistance […]. Les classes qui ont fait leur temps […] parce qu’elle se sentent faiblir, voient arriver leurs derniers jours et sont obligées de résister de toutes leurs forces par tous les moyens. », Œuvres complètes, op. cit., t. 12, pp. 34 et 37.
[583] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 11, p. 29.
[584] Ibid., p. 71.
[585] Izvestia TsK KPSS, no 3, 1990, p. 155 et no 6, 1986, p. 110.
[586] S. Alliluieva, Vingt lettres à un ami, op. cit., p. 173.
[587] Iossif Stalin v obiatiakh semii, op. cit., p. 22.
[588] Trotsky, Ma vie, op. cit., p. 569.
[589] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 12, pp. 100-101.
[590] Istoritcheski Arkhiv, nos 5-6, 1996, p. 168.
[591] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 12, p. 131.
[592] V. Chentalinski, La Parole ressuscitée et A Vaksberg, Le Mystère Gorki, op. cit., p. 284., Paris, Robert Laffont, 1993, p. 410.
[593] M. Kanivez, « Moia Jizn s Raskolnikovim », Minuvchee, no 7, 1992, p. 95.
[594] Déclaration d’Ivan Vratchev, recueillie par l’auteur le 18 mai 1989.
[595] Goulag 1918-1960, Moscou, Materik, 2000, p. 63. Le texte d’accompagnement p. 62 est signé Staline.
[596] A. Soljénitsine, L’Archipel du Goulag, op. cit., t. 2, pp. 62-63. 3. « Discours à la conférence de Leningrad », Correspondance internationale, no 120, 3 décembre 1927, p. 1758.
[597] À la page 19 du Livre noir du communisme, Stéphane Courtois écrit : « Le mot officiel de Staline […] était d’exterminer les koulaks en tant que classe. » Stéphane Courtois remplace « liquider » par « exterminer » et s’appuie sur cette citation modifiée pour affirmer : ici « le génocide de "classe" rejoint le génocide de "race" ». Donc le « communisme » par Staline interposé et le nazisme sont jumeaux puisque l’un tente d’exterminer une couche sociale et l’autre une race. Il est fâcheux que pour étayer cette affirmation Stéphane Courtois commence par trafiquer la formule de Staline. Les guillemets et le mot « officiel » n’y changent rien.
[598] Znamia, no 10, 1987, pp. 181-183.
[599] T. Draper, American Communism and Soviet Russia, pp. 419 et 422.
[600] Pisma Stalina Molotovu, op. cit., p. 136.
[601] Ibid., p. 166.
[602] Iossip Stalin v obiatiakh semii, op. cit., pp. 27-28.
[603] Ibid., pp. 23-24.
[604] Ibid., pp. 25-27.
[605] O. Khlevniouk, Stalin i Ordjonikidzé, op. cit., pp. 19-20.
[606] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 12, p. 169.
[607] Neizvestnaia Rossia, op. cit., t. 4, pp. 159-161.
[608] Voprossy Istorii, no 3, 1990, p. 60.
[609] Sudby Rossiskovo Krestiantstva, Moscou, 1996, pp. 273-274.
[610] Zelenine, « La révolution par le haut », Voprossy Istorii, no 10, octobre 1994, pp. 28-29.
[611] Istochnik, no 1, 2000, pp. 67 et 72.
[612] The Platform of the Left Opposition, Londres, New Park publications, 1963, p. 33.
[613] Oktiabr, no 8, 1997, pp. 104-105.
[614] V. Chentalinski, La Parole ressuscitée, op. cit., p. 148.
[615] Ibid., p. 150.
[616] Iossif Stalin v obiatiakh semii, op. cit., p. 29.
[617] Compte rendu sténographique du XVIe congrès, Moscou, 1930, pp. 6-16.
[618] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 12, p. 262.
[619] F. Tchouev, Conversations avec Molotov, op. cit., édition russe, p. 424.
[620] Pisma Stalina Molotovu, op. cit., p. 297.
[621] I. Valedinski, « Rencontres avec Staline », Istochnik, n°2, 1998, p. 69.
[622] Iossif Stalin v obiatiakh semii, op. cit., p. 31.
[623] Ibid., p. 33.
[624] Ibid., p. 34.
[625] Ibid., p. 35.
[626] O. Khlevniouk, Le Cercle du Kremlin, op. cit.
[627] Znamia, no 11, 1997, p. 158, Cahiers du mouvement ouvrier, no 2, juin 1998, p. 69.
[628] Znamia, op. cit., p. 159 et Cahiers du mouvement ouvrier, op. cit., p. 70.
[629] Stalinskoe Politburo v 30 gody, pp. 97 et 99. Syrtsov répète devant la commission centrale de Contrôle l’affirmation que le rapport du dénonciateur met dans sa bouche. À la commission de Contrôle, il donne simplement la liste des exclus du bureau politique (Kalinine, Roudzoutak, Kouibychev, p. 99). L’agent qui rapporte ses propos ajoute le nom de Vorochilov, ce qui est certainement vrai, car Staline ne prend guère au sérieux son fidèle serviteur, et le nom des non-membres du Bureau politique associés à cet organisme (Iakovlev, Postychev…). Il met enfin dans sa bouche une liste de dirigeants qui, dit-il, « pourront se dresser contre Staline le moment venu : Andreiev, Kolotylov, Eikhe ». (p. 97).
[630] Istoricheski Arkhiv, no 4, 2000, pp. 212-213.
[631] Neizvestnaia Rossia, op. cit., t. 4, p. 169.
[632] Ibid., p. 173.
[633] Izvestia TsK KPSS, 10 juin 1992.
[634] Pisma Stalina Molotovu, op. cit., p. 198 et O. Khlevniouk, Le Cercle du Kremlin, op. cit., p. 46.
[635] Ibid., p. 211.
[636] Ibid., p. 216.
[637] O. Khlevniouk, Le Cercle du Kremlin, op. cit., p. 48.
[638] Sovietskoe rukovodstvo, perepiska, 1928-1941, p. 145.
[639] A. Vaksberg, Le Mystère Gorki, op. cit., p. 260.
[640] Reabilitacja : Politicheskie processy 30-50 godov, Moscou, Izdaltelsto politicheskoï literatury, 1991, pp. 242-244, O. Khlevniouk, op. cit., pp. 49-50.
[641] Lettre à Menjinski reproduite dans Pisma Stalina Molotovu, op. cit., pp. 187-188.
[642] N. Werth et G. Moullec, Rapports secrets soviétiques, op. cit., p. 138-139.
[643] Cahiers du mouvement ouvrier, no 2, juin 1998, p. 96.
[644] V. Juravlev (sous la direction de), Vlast i opposicja (Le pouvoir et l’opposition), Moscou, Rosspen, 1995, p. 145.
[645] Ibid., p. 189.
[646] Izvestia TsK KPSS, no 9, 1990, p. 120.
[647] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 13, p. 25.
[648] D. Volkogonov, Le vrai Lénine, op. cit., p. 31.
[649] Staline, Œuvres complètes, op. cit., t. 13, pp. 101-102.
[650] F. Tchouev, Tak govoril Kaganovitch (Ainsi parlait Kaganovitch), Moscou, Otechestvo, 1992, p. 61.
[651] Perepiska, 1928-1941, op. cit., p. 161.
[652] Istochnik, no 3, 1996, pp. 161-162.
[653] O. Khlevniouk, Le Cercle du Kremlin, op. cit., p. 70.
[654] A. Ivnitski, « Qui est coupable ? », in Sudby Rossiiskogo Khrestianstva (Les destinées de la paysannerie russe), Moscou, Demokratia, Rossia XX Viek, 1996, p. 334.
[655] CRCEDHC, fonds 495, inventaire 28, dossier 168 a. Cahiers du mouvement ouvrier, no 1, avril 1998, p. 76.
[656] W. Münzen berg, « Trotski Faschisticher Vorschlag einer Blockbildung der KPD mit der SPD », Der Rote Aujbau, 15 février 1932.
[657] Staline, Œuvres complètes, t. 13, p. 171.
[658] I. E. Zelenine, « La loi des cinq épis », Voprossy Istorii, no 1, 1998, p. 115. Cf. Cahiers du monde russe, vol. 38, no 3, juillet-septembre 1997, pp. 307-346.
[659] Ibid., p. 116.
[660] Ibid., p. 117.
[661] O. Khlevniouk, 1937, Stalin, NKVD i Sovietskoie Obchestvo, Moscou, Respublica, 1992, p. 23 et N. Ivnitskii, Sudby Rossiiskogo Krestianstva, op. cit., p. 361. Krylenko voit dans cette attitude l’expression d’un « préjugé sucé avec le lait maternel et les traditions de la pensée juridique bourgeoise », Ibid. Il attaque aussi la Cour suprême et le présidium du Comité exécutif des soviets à qui il reproche de considérer qu’« il n’est pas nécessaire de fusiller ».
[662] Staline, Œuvres complètes, t. 13, p. 209.
[663] I. Naumenko, « Comment on a jugé le comité de district », Nedelia, no 30, 1989, p. 10.
[664] Ibid.
[665] I. Gronski, Iz prochlogo (Du passé), Moscou, 1991.
[666] E. Guinzbourg, Le Vertige, Paris, Seuil, 1967, p. 76.
[667] Izvestia TsK KPSS, no 8, août 1990, pp. 201-202 et Cahiers Léon Trotsky, no 37, mars 1989, p. 112.
[668] M. Rioutine, Na koleni ne stanu (Je ne me mettrai pas à genoux), Moscou, 1991, pp. 33-34.
[669] Perepiska, 1928-1941, op. cit., p. 196. D’après le dénonciateur Nikolski, Eismont affirmait que, pris un par un, la majorité des membres du Comité central étaient contre Staline, mais votaient en bloc pour lui, et il répétait enfin : la première phrase que Smirnov répétera en nous rencontrant c’est : « Il n’y aura pas dans tout le pays un homme pour nous débarrasser de Staline ! », Neizvestnaia Rossia, Moscou, Istoricheskoe Nasledie, t. 1, p. 75.
[670] Izvestia TsK KPSS, no 11, novembre 1990, p. 67.
[671] H. Kuromiya, Donbass and Terror, Cambridge, Cambridge University Press, 1998-2000, pp. 188-189.
[672] K. Zelinski, « V lune 1934 » (En juin 1934), Minuvchee, no 5, 1991, pp. 72-73.
[673] Minuvchee, no 10, 1992, p. 97.
[674] Ibid., pp. 109-110.
[675] Ibid., p. 111.
[676] F. Tchouev, Conversations avec Molotov, op. cit., p. 213.
[677] S. Alliluieva, Vingt lettres à un ami, op. cit., p. 124. Anna Larina, Boukharine ma passion, op. cit., p. 141.
[678] V. Alliluiev, Khronika odnoï semii (Chronique d’une famille), Moscou, Molodaia Gvardia, 1995, p. 29.
[679] S. Alliluieva, En une seule année, op. cit., p. 129.
[680] F. Tchouev, Conversations avec Molotov, op. cit., p. 213.
[681] Sovietskoe Rukovodstvo, Perepiska, 1928-1941, Moscou, Rosspen, 1999, p. 196.
[682] Iossif Stalin v obiatiakh semii, op. cit., p. 177.
[683] Ibid., p. 50.
[684] CRCEDHC, fonds 558, inventaire 3, dossier 25.
[685] F. Tchouev, Conversations avec Molotov, op. cit., p. 244. Une lettre voisine du 18 octobre, comportant les mêmes reproches à Vassili et annonçant la visite de Staline chez sa mère, se trouve dans S. Allilueva, Vingt lettres à un ami, op. cit., p. 165.
[686] S. Alliluieva, En une seule année, op. cit., p. 131.
[687] J. B. Abylkhojine, M. K. Kozybaiev et M. B. Tatimov, « La tragédie du Kazakstan », Voprossy Istorii, no 7, juillet 1989, pp. 69-70.
[688] Ibid., pp. 70-71.
[689] N. Ivnitski, « Qui est coupable ? », Sudby Rossiiskogo Khrestianstva, op. cit., p. 335.
[690] Y. Cohen, « Des lettres comme action : Staline au début des années 30 vu depuis le fonds Kaganovitch », Cahiers du monde russe, no 38, juillet-septembre 1997, p. 313.
[691] N. Ivnitski, « Qui est coupable ? », in Sudby Rossiiskogo Khrestianstva, op. cit., p. 337.
[692] Y. Cohen, « Des lettres comme action », art. cité, 314.
[693] N. Ivnitski, « Qui est coupable ? », art. cité, p. 338.
[694] Ibid, p. 355
[695] Y. Cohen « Des lettres comme action », art. cité, p. 319. Staline manifeste alors sa défiance hargneuse à l’égard même de ses plus proches collaborateurs. Ordjonikidzé est « incorrigiblement bouché à l’émeri », c’est un « routinier pourri », il « continue à mal se conduire » (p. 332) et son « comportement mine notre groupe dirigeant » » (ibid.) !
[696] N. Ivnitski, « Qui est coupable ? », in Sudby Rossiiskogo Khrestianstva, op. cit., p. 341.
[697] Ibid., pp. 351-352.
[698] Ibid., p. 353 et Pravda, 26 mai 1964. Terekhov, ayant réussi à sortir vivant du Goulag où Staline l’enverra cinq ans plus tard, a pu raconter cet épisode pendant la demi-déstalinisation khrouchtchevienne.
[699] N. Ivnitski, « Qui est coupable ? », art. cité, p. 354. Georges Sokoloff, « La guerre paysanne de Joseph Staline », préface de L’Année noire, Paris, Albin Michel, 2000, p. 45.
[700] N. Ivnitski, « Qui est coupable ? », art. cité, p. 353. Rogovine, Vlast i Opposicja, op. cit. p. 345, L’Année noire, op. cit., p. 45.
[701] L’Année noire, op. cit., passim
[702] Ibid., p. 194.
[703] Ibid., p. 186.
[704] N. Ivnitski, op. cit., p. 357.
[705] L. Ginzberg, « À travers les pages des "cartons spéciaux" du bureau politique », Vosprossy Istorii, no 8, août 1996, pp. 28-29.
[706] Pissatel i vojd (L’écrivain et le guide), Moscou, Raritet, 1997, pp. 28-54, (l’énumération des 16 modes de tortures se trouve pp. 49-54).
[707] Ibid., p. 68.
[708] Témoignage fourni par le fils de Demchenko, Mikhail, à l’auteur, le 28 avril 1988.
[709] S. Coeuré, La Grande lueur à l’Est, Paris, Seuil, 1999, p. 177.
[710] Staline, Œuvres complètes, t. XIII, p. 178.
[711] Ibid., pp. 196 et 209.
[712] Ibid., p. 185.
[713] Ibid., p. 211.
[714] KPSS V resolucjakh, (Le PCUS dans ses décisions), Moscou, 1954, t. 6, pp. 46-47.
[715] Toute la première partie des thèses de ce Comité exécutif, intitulée « Le fascisme et la maturation de la crise révolutinnaire » développe cette idée. Comintern protiv fascisma (Le Comintern contre le fascisme), Moscou, Nauka, 1999, pp. 309-313.
[716] Pisma Stalina Molotovu, op. cit., p. 247.
[717] Ibid., pp. 248-249.
[718] Staline, Œuvres complètes, t. 12, p. 297.
[719] L. Ginzberg, « À travers les pages des "cartons spéciaux" du bureau politique », art. cité, p. 29.
[720] S. Mikoian, « Sluga » (Le serviteur), Komsomolskaia Pravda, 21 février 1988.
[721] Ce texte a été d’abord retrouvé dans les archives de Smolensk confisquées par les nazis en juillet 1941 et publié dès 1957 par Merle Fainsod dans son ouvrage Smolensk under the Soviet Rule, p. 263.
[722] Le jeune écrivain ouvrier Avdeenko invité à participer à cette odyssée touristique et gastronomique n’en revenait pas encore près de soixante ans plus tard : « Dès que nous fûmes les hôtes des tchékistes, commença pour nous le règne du communisme complet. Nous mangeons et buvons à volonté sans rien payer. Des saucissons fumés. Des fromages. Du caviar. Des fruits. Du chocolat. Des vins. Du cognac. Et tout cela en pleine famine ! » Et Avdeenko en dégustant ces friandises se rappelait le train qui l’avait amené de Magnitogorsk à Moscou : « Partout le long des voies s’alignaient des enfants et des vieillards en haillons, nus pieds, épuisés. La peau sur les os. Des reliques vivantes, et qui tendaient les mains vers les wagons qui passaient. On devinait sur leurs lèvres le même mot, toujours : du pain ! du pain ! du pain ! » (A. Avdeenko, « Otluchenie (L’Excommunication) », Znamia, no 3, mars 1989, p. 11).
[723] lossif Stalin obiatiakh semii, op. cit., p. 159.
[724] Ibid., pp. 160-162.
[725] I. Valedinski, « Souvenirs de rencontres avec Staline », Istochnik, no 2, 1998, p. 73.
[726] Ossip Mandelstamm, Œuvres complètes, Washington, Inter Language Library Association, 1964, t. 1, pp. 195-196.
[727] Staline, Œuvres complètes, t. 13, pp. 293 et 303.
[728] Trotsky, « Qu’est-ce que le national-socialisme ? », in Comment vaincre le fascisme ?, Paris, Buchet-Chastel, 1973, pp. 349-359.
[729] Ibid., p. 360.
[730] Istoria Vnechneï Politiki SSSR, Moscou, 1976, t. 1, pp. 308-309.
[731] Staline, Œuvres complètes, t. 13, p. 347.
[732] Compte rendu sténographique du XVIIe congrès, Moscou, 1934, p. 125.
[733] Ibid., pp. 496.
[734] O. Khlevniouk, Le Cercle du Kremlin, op. cit., p. 109.
[735] Compte rendu sténographique du XVIIe congrès, op. cit., p. 259.
[736] Staline, Œuvres complètes, t. 13, p. 370.
[737] A. Kirillina, L’Assassinat de Kirov, Paris, Le Seuil, 1995, p. 197.
[738] N. Khrouchtchev, Vospominania, op. cit., t. 1, p. 98. Mémoires inédits, Belfond, 1991, p. 40.
[739] F. Tchouev, Conversations avec Molotov, op. cit., p. 255.
[741] Vlast i Khudojestvennaia Intelligentcja 1917-1953, Moscou, Democratia, « Rossia-XX vek », 1999, pp. 233-234.
[742] A. Lazebnikov, « Les lignes du destin », Sovietskaia Kultura, 16 juin 1988, p. 6.
[743] O. Khlevniouk, Le Cercle du Kremlin, op. cit., p. 137.
[744] I. Ehrenbourg, « Liudy, Gody, Jizn », Novy Mir, no 4, avril 1962, p. 16.
[745] G. Dimitrov, Dnevnik, op. cit., pp. 100-101.
[746] Comintern protiv fascisma (Le Comintern contre le fascisme), Moscou, Nauka, 1999, p. 328.
[747] CRCEDHC, fonds 495, inventaire 20, dossier 187. Texte français, Cahiers du mouvement ouvrier, no 1, avril 1998, pp. 78-79. La résolution reprend les termes du rapport introductif de Knorine qui affirme : « L’Allemagne était et reste le maillon le plus faible dans la chaîne des états impérialistes […] Les événements du 30 juin expriment le début de la crise du fascisme allemand […] Ils montrent que mûrissent en Allemagne les prémisses d’une crise révolutionnaire, et que la tâche fondamentale des communistes allemands est d’accélérer la mobilisation des masses pour renverser la dictature fasciste. » (Le Comintern contre le fascisme, op. cit., p. 329.)
[748] Istochnik, no 1, janvier 2000, p. 95.
[749] « Souvenirs de Natalia Rykova », Cahiers du mouvement ouvrier, no 11, septembre 2000, p. 84.
[750] Oktiabr, 1988, no 7, p. 162.
[751] N. Polechtchouk et I. Romanenko, Nicolas Mouralov, Moscou, Moskovski Rabotchii, 1990, p. 189.
[752] Trotsky, Leur Morale et la nôtre, Paris, Pauvert, 1966, p. 99.
[753] S. Z. Ginzbourg, « O Gibeli Sergo Ordjonikidzé (Sur la mort de Sergo Ordjonikidzé) », Voprossy Istorii KPSS, no 3, mars 1991, p. 89.
[754] A. Kirillina, L’Assassinat de Kirov, op. cit., 1995, p. 134.
[755] Izvestia TsK KPSS, no 1, janvier 1990, p. 39.
[756] Reabilitatsia : Politicheskie processy, 30-50 godov, Moscou, 1991, p. 154.
[757] I. Joukov, « L’enquête et les procès sur le meurtre de Kirov », Voprossy Istorii, no 2, février 2000, p. 42.
[758] Izvestia TsK KPSS, no 7, 1989, p. 70, et Reabilitatsia : Polititcheskie processy 30-50 godov, op. cit., pp. 154-155.
[759] A. Kirillina, L’Assassinat de Kirov, op. cit., p. 182.
[760] O. Khlevniouk, 1937 god, op. cit., pp. 52-53.